Vous replongez dans vos archives. Au milieu du papier jauni et des notes illisibles, vous tombez sur des dessins plus vieux que vous ne sauriez l’admettre.
Mais pas n’importe quels dessins. Des cartes imaginaires. Des mondes sortis tout droit de votre tête.
Vous les examinez avec attention. Un brin de nostalgie s’empare de vous. Puis très vite, vous réalisez à quel point… ces cartes sont moches.
Oui, n’ayons pas peur des mots. Vos premières cartes ne sont pas terribles. Griffonnées sur un coin de papier, dans un carnet à carreaux ou au dos d’une facture ou d’une photocopie de document administratif.
Soit.
Vous vous décidez à reprendre là où vous vous étiez arrêté. Vous prenez une belle feuille vierge et un crayon à papier. Près de vous, votre carte sortie des cartons sur laquelle vous allez vous appuyer. Et c’est parti.
Voilà, 30 minutes plus tard et une motivation retrouvée, la carte de votre univers est enfin bouclée. Propre. Toute fraîche. Toute pimpante. Vous êtes à deux doigts d’ouvrir la fenêtre et de crier à la terre entière “MA CARTE EST REFAITE ET ELLE EST GÉNIALE !”.
Non.
Au lieu de ça, vous allez peut-être la poster sur vos réseaux sociaux, fier(e) de votre chef-d’œuvre. Vous attendez les retours avec impatience. Vous attendez. Quelques likes. Encore moins de commentaires. Que du positif, bien entendu. Super jolie cette carte ! Sympa, c’est ton monde ?
Vous êtes content. L’espace d’un instant. Tout ça, c’est tiède. Pas d’emballement.
Après le temps de l’euphorie, vous jetez à nouveau un œil à votre carte.
Mouais, finalement elle ne casse pas des briques. Elle n’est pas vraiment moche, mais il y a ce je-ne-sais-quoi qui manque. Le trait mal assuré vous ramène à la dure réalité.
Vous ne savez pas dessiner.
Avec le recul, vous vous apercevez même que les contours de votre continent ressemblent à s’y méprendre à ceux d’un autre monde plus célèbre. Et que dire des noms des villes et des royaumes ?
Votre monde imaginaire est plat, en plus d’être un peu brouillon au niveau des finitions. Vous vous rappelez vos talents en cours de dessin ou lorsque vous aviez tenté de dessiner “pour de vrai”.
Pas foufou.
C’est bon, je vous ai bien miné le moral ? Parfait. Maintenant, lisez bien ce qui suit. Attention, prêt ?
Vous êtes capable de réaliser une carte à la hauteur de vos attentes. Et oui, même si vous êtes nul en dessin. Mais attention, comme pour toute chose, créer une carte fantasy demande du travail. Désolé, il n’y a pas de formule magique.
Aucun talent n’est inné. Toute compétence s’obtient par le travail, les recherches, l’instruction et bien sûr, la pratique. Mélangez cela à une dose de persévérance et vous pourriez réaliser des cartes d’un niveau dépassant même vos espérances. Vous ne deviendrez pas forcément un artiste professionnel, vous ne serez peut-être pas reconnu dans le monde pour vos talents de cartographes telle une rockstar.
Mais vous obtiendrez un résultat satisfaisant et pro.
Alors si progresser et vous améliorer vous intéresse, voyons ensemble comment dessiner votre carte fantasy.
Cette première étape à ne pas oublier.
Mettons que vous souhaitiez construire votre future maison. Vous appelez un conducteur de travaux, il vous propose un plan.
Très bien.
Les matériaux sont commandés, l’équipe arrive sur le chantier, les briques sont montées une à une. Jusqu’à ce qu’on vous remette enfin les clefs de votre palace.
Vous entrez pour la première fois. Salon magnifique, exposé plein sud, cuisine équipée et fonctionnelle, piscine et j’en passe. Un palace, je vous dis. Mais soudain, stupeur. Il n’y a qu’une seule chambre.
Le problème ? Vous avez plusieurs enfants. Il aurait peut-être fallu réfléchir à la fonction de votre maison avant de vous retrouver dedans.
Une situation pareille a de quoi faire peur (ou rire) tant ça ne vous viendrait pas à l’idée de procéder ainsi. Avant de bâtir, il faut réfléchir en amont à énormément de choses. En particulier, à votre objectif final. Le dessein derrière votre dessin.
Pourquoi une carte ? Dans quel but ? Esthétisme, support spatial pour le lecteur/joueur, informationnel ou encore un peu de tout ça ?
Il n’est pas question de juger vos raisons d’inclure une carte de votre monde. Vous en avez tout à fait le droit. La question que vous devez vous poser, c’est pour quoi faire ? Car de la réponse dépendront plusieurs choses. Le niveau de détails, la colorisation (ou non) ou encore l’échelle.
Si vous souhaitez ajouter une carte dans votre futur roman, l’impression des pages permettra-t-elle l’utilisation de couleurs ?
Suivant le format du livre, les dimensions de la carte rendront illisibles certains noms de lieux ou le visuel de vos cités si vous n’optez pas pour de simples marqueurs.
Ce que je vous recommande : prenez une feuille de papier ou ouvrez un document word et réfléchissez à l’objectif de votre carte. Cela ne vous prendra pas plus d’une dizaine de minutes. À tout casser. Mais cela vous évitera de vous retrouver dans une impasse plus tard.
C’est comme pour une rando. Avant de partir à l’aventure, même quand on débute (surtout, devrais-je dire), on prépare son sac, son itinéraire, ses chaussures…
Ne faites pas l’erreur de vous lancer dans la création de votre carte fantasy sans ce petit travail de réflexion. C’est primordial.
Vous devez faire la différence entre ces deux états.
Il y a une différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin. Il y a une différence entre être nul en dessin et ne pas prendre le temps d’essayer de dessiner.
Je suis sûr que dans votre entourage (ou même vous) quelqu’un a déjà dit “Je ne sais pas cuisiner, je fais tout cramer.” ou encore “J’ai jamais eu la main verte !”.
Ce sont de mauvaises excuses.
En cuisine, les livres de recettes nous donnent toutes les clefs pour réussir de bons petits plats facilement, en suivant étape par étape les instructions. Personne ne vous demande d’être Philippe Etchebest. Simplement de suivre quelques étapes dans un bouquin.
Je suis certain qu’après avoir cuisiné une dizaine de plats avec une recette en support, n’importe qui sera capable de “cuisiner” à peu près convenablement. Vous ne croyez pas ?
Idem pour les plantes. Se renseigner sur l’entretien de telle espèce vous évitera de la noyer ou de la laisser se dessécher.
Cela ne demande qu’une seule chose.
Essayer.
Le problème que beaucoup rencontrent, c’est la peur. La peur de l’échec.
Vous n’êtes pas Picasso (moi non plus). Pourtant, rien ne vous empêche de prendre un crayon, une feuille et de commencer à dessiner. Ce sera peut-être moche, plein de traits gommés, de ratures. Vous allez sans doute froisser le papier à force de gommer, de recommencer.
Mais c’est ce qu’il faut. Essayer. Rater. Recommencer. S’améliorer.
Il ne faut pas se laisser abattre. Après tout, qu’est-ce que vous risquez ? Votre niveau en dessin de carte, c’est entre vous, votre papier et votre conscience. Personne ne vous jugera (sauf un ou deux idiots ?).
Quand je repense à mes premières cartes… J’aimais bien dessiner, mais cela ne m’empêchait pas de reproduire des erreurs et des clichés dans toutes mes cartes.
Vous y passerez sans doute un peu de temps, si vous vous accrochez. Mais cela en vaut la peine.
Ou peut-être pas.
Peut-être que votre objectif avec cette carte requiert malgré tout beaucoup de compétences.
Rien n’est insurmontable, c’est vrai. Mais si vous écrivez des romans, si vous devez promouvoir vos écrits, vous auto-éditer, animer votre communauté, vous n’avez peut-être pas le temps d’apprendre toutes les techniques de dessin pour votre carte.
C’est la même chose si vous êtes maître du donjon pour un jeu de rôles de votre crû. Vous devez gérer votre scénario, vous occuper de vos joueurs, cela demande aussi du temps et de l’investissement.
Alors dessiner une carte complète, c’en est trop.
Ce n’est pas de la mauvaise volonté de votre part. Mais c’est comme tout, on ne peut pas être partout et tout savoir. Ou bien, vous arrêtez de dormir et vous comblez votre retard comme ça.
Non ?
Bon, ok. Ce serait contre-productif. Mais, soyez rassuré. Il existe d’autres solutions.
Êtes-vous prêt à franchir ce pas… ou non ?
L’état des lieux est fait.
Vous avez fait le tour du propriétaire. Vous avez évalué le niveau de finition, le potentiel, la vue depuis le balcon, les possibles nuisances. Tout est ok.
Il n’y a plus qu’une question.
Vous l’achetez cet appartement, oui ou non ?
Vous avez fait le point sur votre réel niveau en dessin. Vous avez réfléchi longuement à ce que vous vouliez faire avec votre carte. Vous estimez l’écart entre vos compétences et vos attentes vis-à-vis de cette carte.
Premier choix : renoncer.
Non, c’est inconcevable. Vous avez créé ce monde à la sueur de votre front et à l’aide du pinceau de votre imagination. Vous avez mis beaucoup de vous dans cet univers fantasy.
Vous avez mis au monde un autre monde.
Ne pas lui offrir une carte digne de ce nom serait une faute quasi divine !
Alors, renoncer on oublie. Next.
Second choix : se débrouiller.
Vous pouvez vous améliorer avec une bonne auto-formation. En lisant des articles de qualité sur ce domaine, en visionnant des vidéos de conseils pratiques, en vous procurant des livres didactiques sur la création de cartes.
Le web regorge d’informations ici et là. Le manque de connaissances n’est plus une question d’accessibilité, mais de volonté.
Dès lors, vous pourrez vous lancer dans la création de votre carte fantasy avec ces compétences acquises. Cela vous demandera des heures de travail, mais si vous faites les choses correctement, vous pourrez obtenir une carte satisfaisante à vos yeux.
Pour autant, dessiner à la main n’est peut-être pas la solution pour vous. Le rendu à la main ne plaît pas à tout le monde. Rien ne vous empêche alors de réaliser vos créations par le biais de logiciels de dessin.
Il est évidemment possible d’en trouver de très puissants qui soient payants, mais pour débuter si vous manquez de moyens, il est tout à fait possible de trouver son bonheur parmi des logiciels gratuits. Nous aurons l’occasion de revenir sur ce sujet dans un prochain article si cela vous intéresse.
Troisième choix : investir.
On y est.
Le fameux pas à franchir. Ou non.
Sortir le portefeuille.
Oui, je sais ce que vous vous dites. Pourquoi forcément payer vu que je peux me débrouiller tout seul ? C’est une question pertinente. Il est tout à fait possible de se débrouiller sans dépenser le moindre denier. Pourtant, vous allez bel et bien dépenser quelque chose.
Votre temps.
Et vous connaissez l’adage comme moi “Le temps c’est de l’argent”.
J’ai longtemps cru que tout faire moi-même sans payer me permettrait de tout contrôler, de tout maîtriser. C’est en partie vrai, oui.
Mais, est-ce que vous vous occupez de tout l’entretien de votre véhicule ?
Vous faites peut-être les vidanges, vous changez peut-être les ampoules défectueuses des phares (vous savez, ces petites choses horriblement difficiles à atteindre). Mais dès que cela touche à la grosse mécanique. Vous faites comme tout le monde.
Vous faites appel à un pro.
Pour obtenir la carte fantasy dont vous rêvez, vous aurez peut-être un choix à faire. Une dépense à envisager. Mais je vais vous aider à y voir plus clair.
Ne voyez pas cela comme une perte.
Mais plutôt comme un investissement.
En ligne, on rechigne souvent à payer. Que ce soit pour un logiciel ou un service.
Le virtuel nous incite à trouver des voies dérobées (piratage, cracks, etc) ou plus “simples” (le gratuit…), mais en réalité, il est tout à fait possible d’investir dans du bon matériel, logiciel ou service de qualité, même en ligne sans pour autant casser son PEL.
Alors, mon conseil si vous souhaitez réaliser une carte de fantasy professionnelle, propre, soignée ou tout simplement “jolie” : investissez dans un bon éditeur de cartes ou bien faites appel à un prestataire.
Bien sûr, vous êtes libre de ne pas le faire. Vous avez peut-être les compétences, la motivation et le temps nécessaires et si c’est le cas, c’est vraiment une excellente chose. On dit souvent qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, pas vrai ?
Mais si vous avez besoin d’une carte pour votre univers fantasy, vous n’avez peut-être pas que cela à faire. Votre worldbuilding, vos personnages, votre intrigue, l’animation de votre communauté, vos autres passe-temps, …
Je l’ai appris au fil des années et avec l’expérience : il faut parfois apprendre à déléguer.
Je sais. Ce monde, c’est votre bébé.
Je vous comprends, je l’ai moi aussi ressenti.
On ne veut pas laisser quelqu’un d’autre y toucher. Alors qu’un oeil neuf pourrait vous surprendre.
Alors, établissez votre budget, renseignez-vous auprès des personnes concernées et lorsque vous vous sentirez prêt(e), faites les démarches nécessaires.
À vous de jouer
Dessiner une carte ne se fait pas en un battement de cil. Oui, vous aurez besoin de vous retrousser les manches. Oui, vous devrez y passer du temps. Oui, il vous faudra peut-être investir dans un logiciel ou passer commande auprès de quelqu’un de plus expérimenté.
Il ne suffit pas de dessiner un beau continent rectangulaire, de mettre 3 ou 4 cités un peu au pif, des forêts et des rivières sans y réfléchir véritablement pour obtenir un résultat satisfaisant.
Mais rien n’est irréalisable là-dedans. Il suffit d’y réfléchir avec méthode et patience. Reprenez les points de cet article et commencez dès maintenant à penser à votre carte. Vous verrez que les choses se dessineront plus clairement dans votre tête.
Et si Cartogriffe et ce premier article peuvent vous aider, alors j’en serais ravi. Votre monde mérite d’être cartographié. Il vous suffit de commencer dès aujourd’hui.
Dites-moi si vous aussi quelque chose vous pose problème en commentaire :
Voilà donc le premier article du site enfin publié, un mois après sa création. Vous avez peut-être découvert Cartogriffe à travers le guide PDF offert à l’inscription.
Si vous avez lu cet article, la création de cartes fantasy est certainement l’une de vos préoccupations actuelles (peut-être même un passe-temps). Vous rencontrez sans doute des problèmes avec vos cartes.
Des freins qui vous bloquent dans votre travail et qui sont comme des cailloux dans votre chaussure.
Ces problèmes, nous pourrions voir ensemble comment les résoudre. Mais pour cela, je dois en savoir plus.
Avez-vous du mal à dessiner les contours de vos pays ou à définir l’échelle de votre monde ? Hésitez-vous sur le logiciel de dessin à utiliser ?
Je ne laisse aucun mail “non lu”, je les lis tous. De même pour les commentaires et je m’emploie à répondre au plus grand nombre. Exposez-moi vos principales difficultés et ensemble, nous pourrons les dépasser.
C’est l’objectif que je me suis fixé avec Cartogriffe.
Bonjour Denis, je me suis reconnue d'un bout à l'autre de votre article. Autant que je me souvienne, j'ai moi aussi trouvé ma première carte superbe, avant de me rendre compte que quelque chose clochait : les forêts étaient toutes des cercles parfaits, les chaînes de montagne formaient des lignes droites, les différents lieux (désert, plaine…) étaient délimités à angle droit, et mes noms de lieu manquaient pour le moins d'originalité (copiés sur The Legend of Zelda, pour la plupart). Mais je pense que ça ne me ferait pas de mal de réfléchir à la finalité de ma carte avant de me lancer, comme vous le conseillez. Merci pour vos conseils, ça me motive pour reprendre depuis le début !
Content de pouvoir t’aider, Rebecca. Et si j’ai pu te motiver à reprendre tout dans le bon ordre, alors c’est génial.
Bonne continuation dans tes projets de cartes.
Salut Denis,
Je suis un vieux de loup de mer concernant les cartes (j'en dessine depuis que je tiens un crayon) et tu m'avais conseillé sur JVC le logiciel Wonderdraft (D'ailleurs, j'ai élucidé ce mystère : certains pro produisaient des cartes magnifiques. Je sais maintenant comment elles ont été conçues). J'ai maintenant une carte qui me satisfait pour l'impression de roman. Voilà pour les présentations 😉
Intéressant article, tu as une approche pédagogique du sujet, je pense qu'il atteindra son objectif, c.a.d. motiver les réticents à se lancer. Tu as tout à fait raison. J'attends avec impatience les articles qui concerneront la réalisation de cette carte (par exemple comment placer les fleuves, etc)
As-tu d'autres réseaux que ce site sur lequel on pourrait retrouver ton travail ? (Insta, twitter, fb… ?)
Louis
Salut Louis,
C’est top si j’ai pu t’aiguiller.
Pour mes réseaux, ils sont tous dans la barre latérale de droite si tu veux m’y suivre 😉
A bientôt pour les prochains articles
Bonjour Denis,
Ce blog semble prometteur !
Je suis une adepte de la bonne vieille méthode papier/crayon (avec un peu d'aquarelle quand je suis d'humeur artistique…) mais je me rends bien compte de son insuffisance.
Mes deux problèmes principaux que je te soumets :
– il arrive qu'au cours de l'intrigue je doive modifier le monde, par exemple j'ai besoin d'un trajet plus facile pour mes personnages, donc je dois ajouter une route, un fleuve navigable, un port, etc. Comment faire pour que la carte reste évolutive ?
– L'échelle. Plus qu'une échelle cm/km, j'ai souvent besoin d'une échelle cm/jour de trajet à pied, à cheval, etc, pour calculer les temps de déplacement des personnages. Un peu comme les options "itinéraires" de google map. Une idée pour faciliter ces calculs ?
Merci pour ton ebook 54 idées et bonne continuation !
Bonjour Hélène,
Merci beaucoup.
Concernant ton problème d’évolution de carte, si j’ai bien compris ta carte « avance » en même temps que ton récit ? Si c’est le cas, je pense que le plus simple est de garder une version de ta carte « brouillon » jusqu’à la fin de ton histoire et dans un second temps, de la refaire plus proprement avec tous tes éléments ajoutés en cours de récit.
Pour la question des déplacements, certains programmes en ligne peuvent t’aider dans ce processus et même des logiciels de cartes. J’en parlerai dans un prochain article.
Heureux de savoir que mon ebook te plait.
A bientôt sur le blog.
Salut Denis !
Le mot est juste, et je voulais profiter de ton premier article de blog pour te remercier de l'aide précieuse et de la motivation que tu m'avais offertes, sur Twitter. J'aime beaucoup Wonderdraft maintenant, et autant toi que le soft en question avez été des manière de me remotiver pour mes romans.
Bien à toi, et te souhaitant toute la bonne chance possible pour ce projet pro tout à fait prometteur,
L'Anco Libre.
Salut à toi !
Heureux de te voir passer une tête par ici.
Si j’ai pu t’aider alors c’est génial. Merci pour tes bons vœux, Cartogriffe revient à la rentrée avec plus de contenus ! 😉
À bientôt !
Coucou ! Un chouette premier article, prometteur et encourageant pour les néophytes, bravo !
J’ai une, bon allez, deux suggestions pratiques concernant ton nouveau blog :
1) ce serait possible de faire figurer les dates des articles, des commentaires et de tes réponses ? Personnellement, j’aime avoir une idée, lorsque j’arrive sur un blog de quand datent les informations données.
2) Je sais que le but est de générer l’interaction et je trouve cool de voir les icônes de tes RS défiler au fur et à mesure que je déroule la page, mais chez moi, c’est trop sur le texte pour être agréable. J’imagine que cela doit être assez difficile à paramétrer parce que cela dépend des navigateurs, mais bon, je voulais te le signaler.
À bientôt ici ! 😊
Bonjour Nathalie,
Merci pour ton retour. Concernant les réseaux sociaux, effectivement ça ne fonctionne pas très bien. J’ai désactivé la fonctionnalité en attendant de trouver mieux.
Pour les dates des commentaires, à méditer. Je verrai à l’usage 😉
A bientôt 🙂
[…] Comment dessiner une carte fantasy (même si on est nul en dessin) ? […]
Bonjour Denis, bravo pour vos article et vos conseil je vous suit depuis pas longtemps et grâce à vous je m’améliore beaucoup en dessinant mes cartes ! Par-contre je n’ai vraiment pas d’idées pour trouver des noms de pays/monde, comment je peux trouver l’inspiration ?
Merci pour tout, à bientôt ☺
Merci beaucoup.
C’est une question qui revient régulièrement ! Cela mérite un article détaillé sur le sujet 😉
Bon courage pour vos cartes !